De l’homologie de l’espace des nœuds et des chaînes
afin de s’exercer par le dessin à la lecture des nœuds
« Le sujet ne guérit pas parce qu’il se souvient,
il se souvient parce qu’il guérit. » — J. Lacan
Après avoir montré la méthode de construction des 3-chaînes homologues à chaque nœuds de la famille du dit : nœud de Lacan, désignés ainsi, par Lacan lui même, pour plaisanter dit-il, dans Le Sinthome sém. XXIII (leçon VII du 17 février 1976) nous tirons par conséquences la raison de cette construction dans un rapport entre ratages et suppléances.
Puis nous isolerons le type de récurrence de ces chaînes génératrices puis l’extension de leur homologie à tous les nœuds propres fait avec une seule corde.
Qu’ils soient ou non de la famille des nœuds de Lacan, à la différence des petites coupures qui produisent les nœuds de cette famille, cette extension nous conduit à l’étude de la portée la plus large des sections transverses dans les chaînes génératrices ainsi, enfin, isolées.
Les auditeurs sont ainsi invités à s’exercer à la lecture produite par la raison de ce lieu, dimension de la répétition ou n’espace qui rend compte de l’oubli de l’autre scène aussi bien que du désir de destruction psychotique acharnée de la part des personnalités.
Alors, par contre coup, de la remémoration rétroactive.